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Les violences sexuelles sont encore insuffisamment reconnues et révélées par les personnes qui en sont victimes.
Ces violences doivent cependant être nommées sans honte.
Elles doivent être révélées auprès des professionnels qui vous accompagnent car ces derniers n’osent pas toujours poser cette question de la violence sexuelle.
Parlez-en à un professionnel avec lequel vous avez une relation de confiance, tel que votre médecin, votre avocat ou votre assistant.e social.e, etc.
Dans les violences sexuelles, il y a :
Le viol au sein du couple est très peu pris en compte dans les dépôts de plainte pour violences conjugales bien que les femmes osent de plus en plus en parler et le dénoncer.
Il est parfois traité par des services de police spécialisés.
Cette violence aboutie très peu à des poursuites judiciaires alors que le viol est un crime qui est passible de 20 ans de prison.
Le viol au sein des couples a été reconnu depuis la loi du 9 juillet 2010 (article 222-22 du Code pénal) :
« Le viol et les autres agressions sexuelles sont constitués lorsqu’ils ont été imposés à la victime (…) quelle que soit la nature des relations existant entre l’agresseur et sa victime, y compris s’ils sont unis par les liens du mariage »
Le viol d’un partenaire constitue une circonstance aggravante.
Personne n’a le droit de vous imposer un acte sexuel que vous ne désirez pas, pas même votre partenaire au titre du « devoir conjugal ».
Quelles que soient les circonstances du viol ou de l’agression que vous avez subi(e), vous n’y êtes pour rien.
L’auteur des faits est le seul responsable.
Le coupable, c’est votre agresseur.